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Chant pour un équinoxe, vers l'alliance                                                      

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© 2014 Saint-John Perse, le poète aux masques (Sjperse.org / La nouvelle anabase). Site conçu, écrit et réalisé par Loïc Céry.

  

Saint-John Perse                     


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Les quatre poèmes de Chant pour un équinoxe sont à proprement parler indépendants les uns des autres. Si l’on compare l’ensemble aux autres recueils de l’œuvre de Perse (Eloges et Exil), le caractère épars des différentes parties du tout est plus marqué. Pour autant, le grand âge, comme dans Chronique, est le ciment de ces poèmes courts, parmi lesquels « Sécheresse » fait figure d’exception quant à sa dimension. Il importe de considérer ici l’ordre fixé pour la publication du recueil en 1975, qui est repris dans l’édition Poésie / Gallimard. Dans cet ordre, le recueil, partant de l’âpreté de « Sécheresse », se dirige vers la douceur de « Chanté par celle qui fut là ».

  

  • « Sécheresse » : Six strophes composées de différentes laisses, puis une adresse finale brève en italique. En s’ouvrant sur ce poème, le recueil énonce la recherche exacerbée de l’ascèse spirituelle dans un paysage en proie à la sécheresse. Cette ouverture du recueil est toutefois trompeuse quant à elle, non pas sur l’intention propre du poète au sujet de l’ensemble en tant que tel, mais sur la place chronologique et thématique du poème dans l’œuvre : « Sécheresse » est bien le dernier poème de l’œuvre poétique de Perse, ce qui implique une importance toute particulière de cette exacerbation, au terme de tout un itinéraire poétique – comme l’importance de la dernière formule.

  

  • « Chant pour un équinoxe » : En deux strophes composées de versets brefs, c’est un court poème focalisé sur l’harmonie d’une alliance de l’homme à l’ordre cosmique, à la faveur de cet équinoxe abordé comme point d’équilibre. Au sein du recueil, après l’extrémité et l’ardeur de « Sécheresse », le poème tend à un apaisement et une consécration de l’harmonie, à laquelle se prête la brièveté de l’énonciation choisie.

  

  • « Nocturne » : Le plus bref poème du recueil. Trois laisses et une formule finale, pour ce texte où se concilient un ton assez désabusé sur la vanité de l’existence et le vide sur lequel elle se clôt, avec un apaisement qui rejoint l’harmonie instituée par « Chant pour un équinoxe ».

  

  • « Chanté par celle qui fut là » : Composé de six laisses, le poème est, chronologiquement, le premier du recueil à avoir été composé (en 1968). Il clôt l’ensemble sur la thématique essentielle de l’amour, auquel le texte est dédié, comme le fut « Etroits sont les vaisseaux » dont il constitue une sorte de suite, accordé aux motifs de l’éternité et du renouveau.